Les 5 erreurs à éviter avant de choisir sa formation Loi ALUR

La formation Loi ALUR est devenue un passage obligatoire pour tout professionnel de l’immobilier soumis à la Loi Hoguet : agents, mandataires, gestionnaires, syndics, directeurs d’agence…
Mais face à la multitude d’organismes et d’offres en ligne, nombreux sont ceux qui se trompent de choix — et perdent temps, argent, ou même la validité de leur attestation.

Voici les 5 erreurs les plus fréquentes à éviter avant de choisir sa formation Loi ALUR.

1. Confondre attestation et conformité réelle

Beaucoup de plateformes promettent une attestation immédiate”, mais toutes ne garantissent pas une conformité totale vis-à-vis de la CCI ou de la Loi Hoguet.
Une simple attestation PDF ne suffit pas toujours : il faut que la formation soit certifiée (délivrée par un centre de formation enregistrée), que la traçabilité soit prouvée (feuille d’émargement, convention, certificat nominatif) et que le contenu respecte les domaines fixés par la Loi ALUR (juridique, économique, commercial, déontologique…).

Bon réflexe : privilégier un organisme qui fournit un coffre-fort numérique ou un dossier complet conforme CCI, comme MaFormationImmo, afin d’être “audit ready”.

2. Choisir le prix avant le contenu

Des formations à 9 € de l’heure peuvent sembler attractives… jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’elles n’abordent que des notions superficielles ou déjà connues.
Résultat : vous remplissez votre quota, mais vous n’apprenez rien et n’améliorez pas votre pratique professionnelle.

Bon réflexe : vérifier le programme détaillé et les objectifs pédagogiques.
Une bonne formation Loi ALUR doit combiner mise à jour juridique ET outils pratiques (par exemple : étude de cas, analyse DPE, prompts IA, fiscalité LMNP…).

3. Négliger la certification Qualiopi

Certaines plateformes se présentent comme “formateurs ALUR” sans être certifiées Qualiopi. Or, cette certification est la condition légale pour bénéficier d’un financement OPCO EP, AGEFICE ou CPF et garantir la qualité du parcours.

Bon réflexe : avant de s’inscrire, vérifiez le numéro Qualiopi de l’organisme sur son site ou sur le registre public (data.gouv.fr).
MaFormationImmo est certifié Qualiopi, ce qui assure un parcours validé et finançable.

4. Oublier la déontologie et la non-discrimination

La Loi ALUR impose 2 heures obligatoires sur ces thématiques, souvent oubliées ou mal traitées dans les packs “génériques”.
En cas de contrôle CCI, un dossier sans preuve de ces deux modules peut être rejeté.

Bon réflexe : vérifiez que votre pack intègre explicitement ces 2 h de formation
Chez MaFormationImmo, ces contenus sont contextualisés : jurisprudences récentes, mises en situation, quiz de compréhension.

5. Sous-estimer l’importance du suivi administratif

Une fois la formation terminée, beaucoup d’agents peinent à retrouver leurs attestations, reconstituer leur dossier ou justifier leurs heures lors d’un renouvellement.
C’est souvent une source de stress inutile — surtout en cas de contrôle surprise de la DREETS.

Bon réflexe : opter pour un organisme qui archive automatiquement vos documents, centralise vos formations passées et vous alerte sur les prochaines échéances ALUR.
MaFormationImmo propose un tableau de bord conformité pour visualiser vos heures, télécharger vos attestations, et anticiper vos renouvellements carte T / G / S.

En résumé : les 5 points de vigilance

Erreur fréquente Risque Bon réflexe
Attestation sans conformité Refus du dossier par la CCI Choisir un organisme “audit ready”
Prix trop bas, contenu vide Temps perdu, aucune montée en compétence Vérifier le programme et la pédagogie
Absence de Qualiopi Non-finançable, non-reconnu Vérifier la certification
Oubli de la déontologie/non-discrimination Dossier incomplet Vérifier la présence des 2h obligatoires
Mauvais suivi administratif Stress et perte de temps Choisir une plateforme avec tableau de bord conformité

Conclusion : se former, oui, mais intelligemment

Choisir sa formation Loi ALUR, c’est choisir bien plus qu’un certificat.
C’est choisir une garantie de conformité, un gain de compétences, et une image professionnelle renforcée.

Publié par Julien Tabore